Prime Matter et Iggymob proposent Gungrave G.O.R.E. Que vaut-il ? Verdict !

Gungrave, c’est avant tout des jeux sur PS2 mais une adaptation en anime, dont le design a été créé par le mangaka de Trigun, Yasuhiro Nightow.

Le jeu est développé par le studio sud-coréen Iggymob qui nous présente ici un shoot à l’ancienne, moins de prises de tête et plus de fun.

L’histoire nous est résumée grâce des cinématiques de bonne facture et nous présente Grave que l’on va incarner, revenu d’entre les morts et massacrant les mafieux du groupe Raven, spécialisé dans la commercialisation de la drogue SEED.

Grave est équipé de deux énormes flingues et de son cercueil qu’il transporte toujours dans son dos.

Le but pendant une trentaine de niveaux sera bien sûr d’éliminer tous les ennemis grâce à vos armes et vos compétences, que vous pourrez acquérir dans votre labo et d’abattre l’habituel Boss qui ne vous laissera aucun répit.

Dommage que notre personnage soit un peu rigide et qu’il n’ait pas l’aisance d’un Dante de Devil May Cry ou d’une Bayonetta mais au fil du temps, vous pourrez aussi incarner de nouveaux personnages (Bunji et Quartz) avec des gameplays différents mais seulement sur quelques passages.

Malgré le fun proposé, Gungrave manque de finitions sur le gameplay, on passe son temps à rester appuyer sur le bouton auto-lock.

Les décors manquent cruellement de différence au début avec de nombreux couloirs, tous ces petits détails ajoutés s’il avaient été améliorés auraient pu en faire un jeu digne d’une PS4.

Un jeu qui a rencontré des soucis de développement et cela se ressent, le jeu aurait pu proposer une expérience basée sur le gameplay et le fun mais il reste un peu trop rigide et quelques bugs entachent le tout.

Gungrave G.O.R.E est disponible sur PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox Series X|S, Xbox One et PC.

Test effectué sur PS4 sur une version physique fournie par le distributeur

Les Plus Les Moins
Un shoot simple et efficace Des décors urbains trop identiques
Des cinématiques qui mettent dans l’ambiance Le gameplay de Grave trop rigide
Une durée de vie de plus de 10 heures plus qu’acceptable Le volume de la musique assourdissant
La localisation des textes