En parallèle de la sortie de Wolfenstein: Youngblood, Bethesda nous propose Wolfenstein: Cyberpilot, un opus VR de la célèbre saga. On vous dit tout !
Après Doom et Skyrim, c’est au tour de la saga Wolfenstein de passer le cap de la VR avec un opus sobrement intitulé Cyberpilot. Le titre nous transporte à Paris en 1980, dans la peau du meilleur hacker de la région. Notre mission : venir en aide à la Résistance française en prenant le contrôle de puissantes machines de guerre nazies.
Graphiquement, le jeu est propre, en partie dû aux décors empruntés à l’opus Youngblood. Le studio a fait une pierre deux coups, un bon moyen d’économiser sur la partie graphique. La VR est nette et sans bavures. Nous avons fait le test sur PlayStation VR donc beaucoup moins fluide et lisse que les casques PC. Mais dans l’ensemble c’est totalement correct comme l’était déjà DOOM VFR.
Côté durée de vie, comptez seulement 2 à 3 heures max de jeu avec une replay value inexistante. C’est court, très court, surtout pour un soft vendu à ce prix. On regrette que Bethesda n’ait pas proposé Cyberpilot en tant que mode VR dans l’opus Youngblood. De plus, on passe beaucoup de temps dans les tuto d’entrainement ce qui doit facilement représenter une bonne heure et demi. Un comble quand on voit la durée du titre. On a à peine fini d’apprendre à maîtriser les deux Mechas et le drone que le jeu est déjà fini.
Wolfenstein: Cyberpilot est une expérience et non pas un jeu. Le soucis étant que celui-ci est vendu à un prix exorbitant alors qu’il fait office de démo technique voir d’un mode VR pour Youngblood. Entre phases de tuto longuettes et gameplay mollasson, l’expérience Cyberpilot restera au stade de prototype inachevé. Dommage !
Wolfenstein: Cyberpilot est disponible sur PlayStation VR, Oculus Rift et HTC Vive.
Les Plus | Les Moins |
L’univers Wolfenstein | Beaucoup trop court |
Graphiquement plaisant | Un peu mou |
Cyberpilot aurait pu être un mode gratuit de Youngblood |