Vega-Dupuis et KFactory ont annoncé leurs invités présents à Japan Expo 2024 qui aura lieu du 11 au 14 juillet 2024 au parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte.

En plus de la venue de la mangaka Fe a qui l’on doit Love of Kill, l’éditeur accueille sur son stand ses auteurices de création originales : rencontres, dédicaces. Rendez-vous du 11 au 14 juillet 2024 au parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte. Le stand Vega sera dans le Hall 5A, allée C, emplacement C152.

ATELIER SENTO : Tokyo Mystery Café

L’Atelier Sentô est un duo formé par Cécile Brun et Olivier Pichard.
Ils tirent leur inspiration de leurs voyages au Japon et des rencontres qu’ils y ont faites. Munis de leurs pinceaux et aquarelles, ils ont sillonné villes et campagnes et ont ramené de nombreux croquis et carnets de voyages qui leur servent de documentation. À travers leurs récits, ils aiment faire découvrir un Japon inhabituel, éloigné des clichés. Leur premier roman graphique Onibi a reçu la médaille d’argent du Prix international du manga à Tokyo en 2018. En 2024, ils font leur entrée au catalogue Dupuis avec Tokyo Mystery Café.

GOROGLIN : Molang

Goroglin est le pseudonyme d’un duo d’auteurs du Sud de la France. Ils aiment la bouillabaisse, le cassoulet et les bons moments entre amis. Le premier imagine des histoires et les raconte en croquis. Le second les dessine et les met en couleurs.

KENRON TOQUEEN : Piravit

Né à Rancagua au Chili en 1994, Kenron Toqueen est un auteur de manga chilien qui dédie tout son temps à la création d’histoires riches en personnages fantastiques et hauts en couleur. Kenron Toqueen souhaite plus que tout vivre de sa passion pour le manga par une publication à l’international, et se donne à fond pour faire de son rêve une réalité.
L’auteur aime tout ce qui a trait au paranormal, aux fantômes, aux cauchemars et à l’origine de l’être humain. Son manga préféré est One Piece, pour la manière de raconter des histoires de son créateur Eiichiro Oda, ainsi que l’attention portée au développement des personnages.

LIEF : Because I Can’t Love You

Après une mise à niveau en Arts Appliqués, Morgane, de son nom de plume Lief, suit une formation en manga et bande dessinée à Angoulême à la HUMAN ACAMEDY EUROPE dont elle sera diplômée en juin 2019. En 2018, elle auto-édite en duo un premier roman Hiroo, puis le tome 2 en février 2020 dans lesquels elle réalise les illustrations, tout en participant à l’écriture.
C’est à la suite d’une rencontre avec les éditeurs de Webtoon Factory via son école en 2019, qu’elle se lance dans le Webtoon, puis commence l’écriture de Because I can’t love you. Publiée d’abord en anglais sur la version Canvas de NAVER WEBTOON, la série est finalement éditée par la version française de la plateforme et compte aujourd’hui 2 saisons, 121 chapitres et 3 tomes papiers aux éditions K Factory (Vega-Dupuis). Le tome 4 et la saison 3 sont en cours de réalisation et arriveront prochainement !

MATHIEU REYNES : La Théorie du K.O.

Certains dessinateurs posent leur crayon comme certains réalisateurs leur caméra. Il en est ainsi de Mathieu Reynès, dont les cadrages travaillés au millimètre servent à merveille un dessin semi-réaliste aussi dynamique qu’élégant. Qu’il travaille en équipe – sur Alter Ego, avec Lapière et dans La mémoire de l’eau, avec Valérie Vernay – ou en solo – avec l’emballant thriller Harmony – Mathieu Reynès rappelle à chaque album qu’il fait partie des auteurs qui comptent dans le paysage de la BD contemporaine.
Depuis 2023, Mathieu Reynès est l’auteur de La Théorie du K.O., un manga d’action futuriste avec une héroïne forte et un univers riche aux thématiques écologiques et politiques.

OTO-SAN (dessinateur) et SHELTER (scénariste) : Hand of fate

Oto-san est un jeune dessinateur autodidacte. Il commence le dessin à l’âge de 8 ans. Son style est marqué par l’influence de la japanimation et des séries classiques que sont Dragon Ball, Hunter x Hunter et Shaman King. Il perfectionne sa technique de dessin et de découpage en se lançant dans de nombreuses collaborations avec des scénaristes. C’est en 2017 qu’il réalise la série Double.me chez Ankama en collaboration avec David Boriau. En 2020 il collabore avec Shelter sur un nouveau webtoon nommé Hand of fate chez Webtoon Factory.
Hugo aka. Shelter a grandi dans l’univers des mangas et des jeux vidéo. Dès l’âge de 10 ans, il commence à créer ses propres histoires et à rêver d’en faire son métier, mais confronté à l’idée parentale « qu’être auteur n’est pas un vrai travail », il se rabat sur des études scientifiques. Toujours accroché à son rêve, il passe tout son temps libre à écrire et à créer des mangas en collaboration sur internet. C’est là qu’il rencontre Oto avec qui il travaille sur plusieurs projets. Finalement, en dernière année d’école d’ingénieur en électronique, Hugo plaque tout pour entrer dans un studio de jeu vidéo, Asobo Studio à Bordeaux, en tant que community manager. Il devient rapidement Game Designer puis Narrative Designer, son rêve de toujours. Quelques années plus tard, il entre chez Ubisoft et travaille en tant que directeur narratif sur la marque Assassin’s Creed.

PRINCE ROURS : Orage

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours voulu être dessinateur. J’aime autant réaliser des BD mignonnes que des BD plus sérieuses et le plus souvent avec humour. J’ai vagabondé dans le monde du dessin, fanzines, collaborations, illustrateur et prof de dessin, puis j’ai décidé de me lancer à cœur perdu dans la BD. L’aventure commence !

TOTH-M : Distress

Rémi MACIA aka Toth-M est né à Lorient en 1997. Après l’obtention de son bac, il entre à l’école PIVAUT. En 2019 il en sort diplômé en Animation 2D et son film de fin d’études “POLAROID” remporte le concours Atoncourt, organisé par France 3. DISTRESS est sa première BD.

ZeN : Tsubaken

Un jour, je suis né. Ma croissance m’a permis de percevoir un peu plus le monde, et j’ai commencé à beaucoup apprécier certaines choses, comme par exemple grimper aux arbres, et le manga Dragon Ball. Mais ma croissance à encore fait des siennes depuis, et j’ai un peu lâché la grimpette. En partie parce qu’Il y avait de moins en moins d’arbres (et ce ; en partie parce que je dessinais des Son Gohan sur du bois mort), Mais surtout parce que j’aimais passer plus de temps à dessiner. C’est alors que donner vie à mes dessins est devenu ce que je voulais faire plus tard. Depuis cette décision incongrue, J’ai donc développé des univers, que je rêve aujourd’hui de pouvoir montrer aux autres personnes qui sont nées.