Après avoir levé 64M€ en 2 ans, Blade annonce une croissance spectaculaire de ses effectifs et le recrutement de plusieurs talents seniors pour renforcer son développement.
L’ambition de la startup, déjà présente dans 7 pays, est sans limite.
Les talents au cœur de la croissance
Moins d’un an après l’ouverture de ses ventes, Blade a su séduire avec Shadow plus de 30 000 utilisateurs actifs, dont 10 000 nouveaux sur les 2 derniers mois. Shadow est déjà commercialisé dans 7 pays : la France, la Suisse, l’Allemagne, la Belgique, le Royaume-Uni, le Luxembourg et désormais les Etats-Unis. Quatre autres ouvertures de pays sont prévues et seront dévoilées prochainement.
Ces excellents chiffres impliquent une très forte accélération des recrutements. Début 2017, Blade comptait 10 salariés. Un an et demi plus tard, c’est plus de 160 collaborateurs qui travaillent aujourd’hui sur Shadow et qui sont répartis entre Paris (130) et San Francisco (30) ! D’ici la fin de l’année 2018, ce chiffre sera porté à près de 200 personnes, avec une trentaine de postes à pourvoir actuellement.
Attractive car atypique
“Pour nous, l’attractivité passe évidemment par le confort de nos salariés, des locaux centraux à Grands Boulevards et des conditions avantageuses comme il se doit pour une startup en hypercroissance.” explique Emmanuel Freund, CEO de Blade. “Mais notre vision de Blade, c’est avant tout un esprit libre et décomplexé. On a pas peur des GAFA, on a peur de rien. Et ça doit se traduire à tous les niveaux, de la communication à nos recrutements.”
Quelques fondamentaux RH chez Blade :
- Ouverture d’esprit : chaque candidat doit d’abord répondre à un questionnaire mêlant culture générale et questions décalées, pour évaluer son adéquation avec la culture d’entreprise ;
- Liberté d’expression : chaque candidat fait le tour de l’entreprise à la rencontre de toutes les équipes, dont chaque membre pourra ensuite exprimer son ressenti concernant le candidat ;
- On l’aime ou on la quitte : après une semaine de travail, chaque nouveau salarié se voit proposer un chèque de 2 000 euros à prendre s’il souhaite quitter Blade, ou à laisser s’il souhaite rester ;
- Mariage pour tous : autodidactes, reconversions professionnelles, écoles d’ingénieurs ou de commerce, seuls l’envie et le talent font la différence ;
- Journées portes ouvertes : Blade offre une transparence totale à tous ses salariés sur tous les projets, les succès, échecs et résultats. La règle est simple puisque tous les employés peuvent assister à toutes les réunions de l’entreprise.
Avec 29 ans de moyenne d’âge, Blade parie avant tout sur les talents de demain, et une passion partagée autour d’un projet commun.
Recruter l’expérience pour accompagner la jeunesse
En complémentarité de cette jeunesse et de cette énergie qui font vivre Blade, des managers d’expérience viennent apporter leur expertise pour structurer et accompagner les différentes équipes. Certains ont d’ailleurs rejoint Blade cet été :
- Franck Boniface : Chief Financial Officer, a accompagné Vestiaire Collective, une jeune entreprise en forte croissance. Après un début de carrière en audit, il s’est expatrié plus de 5 ans à Los Angeles chez Technicolor et M-Go.
- Arnaud Lamy : Directeur du Développement, après avoir été Team Manager et CTO dans des sociétés comme LTU Technologies et Scality.
- Ryan Scott : Directeur Marketing USA, expert en jeux vidéo et ex-Product Manager chez Activision, puis Senior Brand Manager chez Electronic Arts.
- Yann Carron : Directeur Marketing, après 10 ans chez SFR où il a notamment lancé la marque RED by SFR. Il remplace Yannis Weinbach, qui est nommé Directeur Général Adjoint.
Enfin, à peine un an après l’ouverture de ses ventes au grand public, Blade a récemment été nommé 5e startup la plus attractive de France en 2018 selon le classement LinkedIn.