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[TEST] Atelier Ryza: Ever Darkness & The Secret Hideout

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Atelier Ryza: Ever Darkness & The Secret Hideout
Atelier Ryza: Ever Darkness & The Secret Hideout

Koei Tecmo Europe et le studio GUST propose Atelier Ryza: Ever Darkness & The Secret Hideout 21ème opus de la saga, désormais disponible sur PS4 et Switch.

Gust nous sort déjà un nouvel épisode d’Atelier, près de 22 ans après « Atelier Marie, the alchemist of Salburg ».

Dans cet opus, nous incarnons donc Ryza l’héroïne au t-shirt moulant, accompagnée de ses amis d’enfance Lent et Tao qui vivent paisiblement dans leur village portuaire et ne rêvent que de quitter l’ile de Kûken afin de vivre des aventures plus palpitantes que la culture du maïs ou d’étendre le linge au soleil.

C’est là que nous rencontrons Empel, qui va initier Ryza au monde l’Alchimie (au début, j’ai cru que nous avions un jeu de Card Captor Sakura tellement le design m’y fait penser ^^)
On va enchainer les quêtes, les combats et évidemment les recettes d’alchimie.

Pour les combats, c’est du tour par tour un peu moins classique avec du semi temps réel, notre équipe sera alors formée de 3 partenaires, Ryza en leader accompagnée de nos amis d’enfance mais bientôt d’autres personnages viendront se joindre à nous.

On a le choix très classique entre attaques et magies avec les habituels rôles DPS, Support et Tank, rien de bien compliqué mais rien d’original non plus.

Et pour l’alchimie ? Comme d’habitude, on acquiert des recettes qu’il faut suivre à la lettre, récupérer des ingrédients pour finaliser nos potions ou objets (on peut par contre agir sur la qualité de l’objet désiré et ainsi le rendre « parfait » et améliorer ses statistiques)
Pas vraiment de grosses prises de risques pour cet opus mais Ryza fait le taff pour les fans de la licence et au bout de quelques heures, la magie de l’univers des Ateliers est bien présente.

Atelier Ryza: Ever Darkness & the Secret Hideout est disponible sur Nintendo Switch et PlayStation 4.

Test effectué sur PS4 sur une version physique fourni par le distributeur
Les Plus Les Moins
Les voix japonaises au top Les textes uniquement en anglais et très nombreux
Une touche pour courir Monde semi ouvert, manquant de liberté
Les musiques douces et agréables Le bestiaire très classique et redondant
Le design général magnifié par les illustrations de Toridamono

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